La reprise, c’est la reprise

On vous a dit qu’on reprenait la rame. On a repris. Lundi soir 22 juin, 5 barques et mardi matin 3. Avec deux bonus pour les barques de mardi matin:

  • une sortie café croissant et baignade au brise-lame
  • la remise des clés de barreur à Filo qui a passé avec succès l’épreuve du pont de la savonerie de nuit avec courant contraire (et en plus elle a barré Bruno)!

Occitarame-Sète dans la « Tempête sur le brise-lame »

Pré-reprise pour une quinzaine de membres d’Occitarame-Sète qui ont prêté main forte samedi 20 juin à l’opération « Tempête sur le brise-lame ». Cette opération de nettoyage de l’extrémité ouest de la digue (qui fait l’objet d’un récit heure par heure sur le site de « Midi Libre ») a permis aux quelque 150 participants de collecter 1,8 tonne de déchets en deux petites heures. On les applaudit tous bien fort!

  • Tempête sur le môle
  • Tempête sur le môle

En attendant (toujours) la reprise, nos bricorameurs bricolent

« Puisqu’on est déconfiné, on peut bricoler » chantaient gaiement les bricorameurs en allant d’un pas décidé au ponton où restent sagement amarrées « Carla », « Jeanne » et « Margot ».
« Puisqu’on peut bricoler, on va pas s’en priver » reprenaient en cœur les bricorameurs. Et ainsi de suite de 8 heures à midi.
Trêve de balivernes ! Ce n’est pas un conte de fée (pas celui de Bianca Nieves en tout cas) mais une vraie réalité : grâce à eux, le ponton est complètement tout à fait prêt à ce qu’on lui (re)monte dessus.


Quoique pour ce faire il faudra:

  • soit être en possession d’une attestation d’adhésion à Occitarame-Sète délivrée par la préfecture depuis moins d’une semaine (modèle téléchargeable ici),
  • soit avoir le logo du club (modèle téléchargeable ici) tatoué en rouge sur l’épaule gauche et porter un marcel pour qu’il puisse être vu.

Hé non ! Je déconne (enfin je crois).
Allez on applaudit bien fort nos bricorameurs qui sont vraiment très très forts.

Le 2 juin, on en saura (peut-être) plus mais en attendant on ne rame pas!

Le 11 mai, c’est le début du déconfinement. Ooookayyy! Mais alors on va pouvoir recommencer à ramer? Et ben non! Quoi? Pourquoi? Mais les joggeurs, les cyclistes, les yogis et tuti quanti, ils peuvent bien eux. Oui, eux ils peuvent parce qu’il s’agit d’une pratique individuelle et qu’elle permet la distanciation sociale qui reste une des conditions impératives du déconfinement (lire ici les explications de la ministre des sports).
Or la rame traditionnelle ne répond pas aux critères du déconfinement sportif:

  • S’agit-il d’une pratique individuelle? Non!
  • Est-il possible de tenir les distances de sécurité? Non!

Le ministère a indiqué qu’un nouveau point de situation sera fait pour les sports collectifs le 2 juin. Donc en attendant on ne rame pas. Et on prend soin de soi (en faisant attention au « verre solitaire »)

Faudrait pas oublier!

Je sais, je sais, la rame vous manque. Elle nous manque à tous. Donc pour ne pas oublier le geste auguste du rameur (et de la rameuse, bien sûr) voici un petit crobar animé que je me suis amusé à réaliser pendant mes heures de confinement perdues (elles ne le sont pas toutes car les tâches ménagères sont tout aussi impérieuses que nombreuses ‒ mais ça tout le monde en est parfaitement conscient). Alors voilà:

Vous noterez le mouvement des bras en tiroir au moment du retour, important le tiroir, très important car contrairement au moulinet, il permet de garder la pale de la rame plus longtemps dans l’eau et d’avoir une meilleure prise d’eau. Allez, on pose les fesses sur un tabouret à côté d’un canapé, on glisse les pieds sous le canapé pour les bloquer, et on simule le mouvement une vingtaine de fois. C’est très bon pour les abdominaux.
En prime le mouvement décomposé:

Toux ceux qui auront vu l’erreur sur le dessin auront droit à une remise de 50% sur la cotisation 2020-2021 (non, je déconne!).

Des nouvelles du « Rio Tagus »

Je viens de réaliser que nous sommes déjà le 16 avril (que le temps passe vite même confiné) et que j’aurai dû vous donner cette information il y a deux bonnes semaines. Toutes mes excuses pour ce retard à l’allumage. Voici de quoi il est question.

Vous saviez (et si vous ne saviez pas, vous allez savoir) que notre club a fait une démarche auprès de Port Sète Sud de France pour obtenir un espace au bout du môle Saint-Louis dans les locaux qui doivent remplacer la base Tabarly. Pour cela un épais dossier avait été transmis à la Région mettant en avant le rôle important de notre association dans le développement d’une tradition maritime locale.

Pour dire le vrai, notre conseil d’administration avait perdu espoir de recevoir une réponse. Elle vient pourtant d’arriver à notre siège après avoir été elle aussi confinée dans les bureaux de tris de l’administration postale. Quoiqu’il en soit le courrier est signé par Jean-Claude Gayssot, président de Port Sète Sud de France (vous pouvez télécharger l’original ici).

Dans le style fleuri qui lui est coutumier, l’ancien ministre (PC) des transports du gouvernement Jospin nous informe qu’il ne nous faut plus nourrir l’espoir d’obtenir une place au môle Saint-Louis (elles sont très chères). En raison de la qualité du dossier qui lui a été soumis, il a néanmoins une proposition à nous soumettre. Elle est de taille.

Port Sète Sud de France, que M. Gayssot préside, craint que le canal maritime ne finisse par être bouché par le « Rio Tagus ». Le cargo est à l’abandon quai Paul-Riquet depuis 10 ans. Il est en trop mauvais état pour être sorti du port. La justice n’a pas vu d’urgence à le démanteler sur place. Bref si rien n’est fait rapidement (tous les membres du club ont pu le constater en ramant à ses côtés), la navigation dans le canal risque de devenir impossible ce qui aurait de graves conséquences pour la gestion du port.

Les services de M. Gayssot ont donc planché sur une réhabilitation du « Rio Tagus ». Pour un budget qui ne devrait pas entraîner de hausse des impôts (le conditionnel restant de mise), Port Sète Sud de France se propose de métamorphoser l’épave flottante en centre de sport nautique traditionnel de haut niveau. En gros il y aurait 20 cabines individuelles au pont 1 pour recevoir les stagiaires, une salle de réunion de 200 places, un réfectoire et une salle de musculation au pont 2, un pont solarium de 400 m2 avec bar et jacuzzi au pont 3, ateliers, vestiaires, bureaux, salles de réunion dans la tour de commandement équipée de treuils de levage pour les barques.

M. Gayssot pense qu’en considérant ce chantier comme une priorité pour le redressement de l’économie régionale, il pourra être terminé dans les premières semaines de 2021. Resterait alors à en confier la gestion à une association locale. Le président de Port Sud de France pense qu’Occitarame Sète a en son sein toutes les compétences pour mener à bien cette tâche. En contrepartie d’un bail emphytéotique de 1 euros (bien un euro), il nous propose donc d’en assurer la gestion pendant les 50 prochaines années.

Disons que ce courrier a laissé sur le cul ceux qui en ont eu connaissance (et j’en fais partie). Néanmoins le conseil d’administration du club va se réunir en visio-conférence pour en débattre . Nous vous tiendrons naturellement informé des suites de l’affaire. Et vous pouvez nous donner votre sentiment en répondant au sondage ci-dessous:

Et pendant ce temps, Christian est aux pinceaux

Christian peint les nouvelles rames

Confiné ça ne veut pas dire… (attention, attention j’en vois qui seraient prêts à jouer sur les voyelles pour dire des gros mots) bref confiné ça ne veut pas dire pétrifié, momifié ou pire vautré dans le canapé. La preuve: Christian, notre artiste peintre, ne lâche pas les pinceaux, il va mettre en couleur les nouveaux jeux de rame d’Occitarame-Sète.
Comment est-ce possible? Parce que notre bon fabricant Venturi les avaient finies et qu’il a proposé de les livrer. Proposition retenue. Après un crochet par l’entrepôt de gigean, elles sont donc arrivées jeudi à Poussan chez Stella et Christian, qui vont mettre à profit ce satané confinement pour couvrir le bois encore nu des belles. Et on sait d’avance qu’elles auront une sacrée gueule nos rames flambant neuves. Merci les artistes!

Les mots de Christian Bailly qui a croisé nos barques consignées

Notre ami Christian Bailly tient un blog intitulé « A l’encre de ma vie ». Il écrit donc, et ces temps de corona-confinement l’ont forcément inspiré d’autant que, retour des commissions, il est passé dire un petit bonjour à nos barques qui se demandaient pourquoi elles étaient consignées. Voilà un extrait du texte sur la restriction de l’espace et de l’étirement du temps qui donne la sensation de vivre au ralenti:
trois barques

(…)Là-dessus, mon caba à la main, j’ai repris ma route…
Puis, un peu plus loin, j’ai rencontré « Jeanne », « Carla » et « Margot ».
Elles étaient clouées au ponton.

Nonchalantes,
À rêver, au soleil, à ces escapades que nous aurions pu faire tous ensembles…
Aux clapotis des vagues sur leurs croupes généreuses…
Hum ! Comme elles auraient bien aimé passer le pont de la savonnerie, avec un frisson dans le dos
Ou aller s’éclater sur l’étang de Thau…

Pas une ride sur le Cadre Royal…
Un vrai miroir, aux reflets multicolores…
Où se mirent nos trois Grâces…

Seule une petite brise aurait pu nous rafraîchir, tout en allant à Bouzigue, à Ballaruc ou bien en mer.

« Mais où sont passés barreurs et rameurs ? Seraient-ils devenus manchots ? » Me demanda Margot…
« Mais noooon , à Sète ? C’est impossible ! On a des durs à la rame !
On n’est pas au Pôle Nord, ici !
Oh, mais alors… et la St Louis ? » S’exclama Jeanne inquiète.
Clara, plus vieille, plus sage, resta dans son coin, silencieuse…
Elle en avait vu bien d’autres dans sa jeunesse…
« Allez ! Coooooool les filles, on se calme ! Arrêtez de pleurnicher » dit-elle, pour une fois qu’on ne lui demandait rien …
Moi, ne sachant pas comment les rassurer, j’ai baissé la tête et j’ai repris mon chemin du retour. (…)

Pour tout lire et tout voir (le texte est illustré), c’est ici: https://alencredemavie.blogspot.com/2020/03/la-vie-au-ralenti-sete.html

« Un air de Sète » pris de chez nous…

Dorian (oui, oui, notre Dorian doctorant en sciences de l’environnement) l’a demandé. « Midi Libre » l’a fait, une vidéo « bol d’air frais » par temps de confinement à partir de notre tout beau tout neuf ponton d’Occitarame-Sète. Ça donne « un air de Sète », la preuve par l’image que nos barques sont les plus belles dans le plus bel endroit de notre île, le Cadre Royal. Allez on regarde en cliquant sur la capture d’écran de l’article:

Rien ne bouge…


Par ces temps de confinement, on se console comme on peut: nos barques sont immobilisées mais elles ne sont pas les seules à rester à quai, le « Rio Tagus » lui non plus ne bouge pas! Allez on garde le moral.

suspension

Rame suspendue pour tous jusqu’à nouvel ordre

suspension

Avis de tempête épidémiologique au covid-19 de force 3 (le max): suite aux annonces gouvernementales pour enrayer la contagion, le conseil d’administration d’Occitarame-Sète a décidé de suspendre la pratique de la rame traditionnelle immédiatement et jusqu’à nouvel ordre. Autrement dit l’accès aux barques est interdit à tous les membres de l’association, TOUS, sans exception. Les barques doivent rester au ponton.

Buffet Ponton

C’est pour qui ce magnifique ponton?


Et un ponton tout neuf, un! Enfin ils étaient une bonne douzaine de bricorameurs samedi 7 mars au petit matin pour faire ce qui commençait à devenir urgent de faire, changer les planches du ponton auquel sont amarrées les barques. Une douzaine d’as de la perceuse-viseuse réunis par Christian: Jean-Pierre, Yves, Guy, Pierre, René, Michel, Thierry, Christian, Jean-Paul, Bernard, et Pierre. Il n’en fallait pas moins pour abattre le boulot: enlever le plancher, installer le nouveau, percer et visser tout cela, sans oublier l’ajout de trois flotteurs sous le ponton pour lui donner une meilleure stabilité.
Bref quand l’inspecteur des travaux finis (en l’occurrence l’auteur de ces lignes) est passé faire un état des lieux, il a été épaté, et je dirai même mieux, franchement épaté. Les lattes étaient toutes en place, il ne restait plus que quelques vis à serrer, c’était quasiment fini. Résultat bluffant, chapeau bas. Les 28 m2 de planches qui ont été nécessaire à l’opération n’attendent plus qu’un coup de saturateur. Ca valait vraiment le coup de sortir 1800 euros des caisses du club.ponton
L’heure de l’apéro approchant, il ne restait plus qu’a installer le coffre en guise de table pour permettre à la compagnie rejointe par les caréneuses peintres, Cathy et Martine de se régaler avec le buffet qui avait été apporté pour le réconfort de tous par nos « jeunes » mariés Jacques et Huguette qui viennent de fêter leur nôces de diamant (et oui, 60 ans!).

présentation défi des barjs 2020

Y-a-t’il des « barjs » à Occitarame-Sète?

On se pose la question: y-a-t’il des « barjs » à Occitarame-sète? On se la pose parce qu’il y en a du côté de Cros-de-Cagnes et de Théoule. C’est quoi un « barj ». Sans distinction de sexe ou d’âge, c’est un rameur traditionnel qui se lance dans un défi genre « Ile-Rousse-Monaco », « Rome-Monaco » ou encore « Monaco-Théoule ». Sans rire, pour une bonne cause humanitaire!
Voilà en effet ce qu’on a trouvé dans le courrier d’Occitarame-Sète, un mail de Didier Repetto qui reroutait un mail d’Eric Farinau:

———- mail transféré ———-
Envoyé: jeudi 30 janvier 2020 14:20
De : « FARINEAU Eric »
A : « didier repetto »
Objet : Défi des Barj’s Race

Bonjour Didier,
Après réflexion, j’ai décidé de lancer le Defi de Barj’s Race 2020. => tu m’as convaincu J
Le Défi aura lieu le 11 et 12 juillet avec une possibilité de reporter au 18 et 19 juillet si la météo n’était pas bonne.
La réalisation de ce Défi est conditionnée à :

  • l’obtention du budget nécessaire pour son organisation => Les sollicitations ont été adressées auprès des sponsors des précédents Défis.
  • Un nb d’équipes minimum de 6

En PJ la présentation du Défi.
Ci-dessous une proposition de mail que tu pourrais adresser à tous les clubs de rame (J’ai adressé ce jour à l’amicale San Peire toutes les infos du Défi)

Bonjour à tous,
Je viens vers vous afin de vous présenter un Défi de rame traditionnelle qu’organise Eric Farineau (rameur compétition à l’Amicale San Peire) et qui me tient à cœur.
Eric n’est pas à son premier coup d’essai puisqu’il a déjà organisé les Défis des Barj’s en juillet 2014, août 2016 et juillet 2018 qui ont permis des remises de fonds de 7 200 €, 18 000 € et 40 000 € à l’Association le Rocher du Cœur qui aide les enfants atteints de graves maladies.
J’ai le plaisir de vous annoncer l’organisation de son nouveau Défi des Barj’s Race les 11 et 12 juillet 2020.
Le But de ce Défi:

  • Toujours Humanitaire pour récolter des fonds pour l’Association Le Rocher du Coeur, afin de financer ses activités auprès des enfants gravement malades.
  • Et sportif : Relier Monaco à Théoule à la rame sous la forme d’une course entre plusieurs équipes représentant leurs clubs respectifs.

Vous trouverez en PJ tous les détails relatifs à cet évènement.
Eric Farineau est à votre disposition pour toutes demandes d’information complémentaires. Vous pouvez le joindre au 0x xx xx xx x9, e.farineau@monaco-telecom.mc
Les clubs de Théoule et de l’amicale San Peire sont très motivés pour participer à cette compétition et à aider ainsi cette association qui apporte un peu de bonheur à ces enfants.
J’espère que vous pourrez nous rejoindre dans cette aventure.

La fiche jointe

defi des barjs 2020
defi des barjs 2020
defi des barjs 2020
defi des barjs 2020
defi des barjs 2020
defi des barjs 2020
defi des barjs 2020

Pour télécharge la fiche c’est ici: Défi des Barj’s Race 2020 Clubs

Y-a-t’il des barjs?

Donc on se repose la question: y-a-t’il des « barjs » à Occitarame-Sète? Si c’est le cas, il faut qu’urgemment ces « barjs » prennent contact avec Yves pour la constitution d’un équipage (mixte) et la programmation des rudes entraînements (19 heures de rame en mer, ça use, ça use… et pas que).

Les t-shirts sont commandés, distribution lors de l’assemblée générale

Sur les quelque 140 membres d’Occitarame-Sète, nous avons cette saison:

  • 9% de taille S
  • 21% de taille M
  • 34% de taille L
  • 21% de taille XL
  • 14 % de taille XXL
  • et 1% de taille XXXL

(statistique gracieusement fournie par le formulaire d’inscription numérique mis à disposition des adhérents cette année )

Bref la commande a été passée sur la base de ces données (chacun devrait donc bien avoir sa bonne taille). Et la distribution aura lieu samedi 30 novembre à l’occasion de l’assemblée gnérale et du dîner (une bonne raison donc de faire acte de présence).

En avant première mondiale, voilà à quoi ressembleront ces fameux t-shirts:


A quelques minutes près, ils auraient pu ressembler à ça:

Les barques d’Occitarame sur une toile d’Alain Delmas

Le peintre sétois Alain Delmas, récemment exposé à la galerie Dock Sud, met la dernière main à l’édition d’un livre intitulé « Sète, singulier navire de la mer à l’étang », livre dans lequel il a rassemblé ses toiles sur les vues emblématiques du port et des canaux, toiles accompagnées de photos du lieu représenté et de la réalisation de l’oeuvre. Les barques d’Occitarame sont ainsi représentées sur « Le cadre royal la nuit » (huile sur papier marouflé 116×81 cm) achevé un petit matin de juillet 2019.

« Jeanne » sortie de l’eau pour se refaire une beauté

« Jeanne » a été sortie de l’eau vendredi 9 août aux Plaisanciers pour aller se refaire une beauté du côté de Gigean grâce à nos infatigables bricorameurs.Elle reviendra au ponton du pont de la Civette toute pimpante pour faire connaissance avec la nouvelle copine à quatre bancs de nage qui sortira bientôt du chantier Coeur Nautique pour remplacer « Fernande » en partance pour l’Estaque.

Et voilà le travail

Première phase du boulot réalisée dimanche par la petite bande de Christian.

La suite à la fin du mois.

On fait la une de « ML »

Donc en ce jeudi de l’Ascension, on s’attendait à voir le nouveau pont du Tivoli remonter le canal maritime sur son imposante barge (spectacle à la hauteur de l’événement), mais pas à ce que « Jeanne » et « Fernande » fassent la une de « Midi Libre ». C’est pourtant ce qui s’est passé, notre quotidien favori présentant un documentaire qui doit être diffusé sur Arte samedi dans l’émission Artiste Square. Le rapport avec les barques d’Occitarame-Sète ? Robert Wampas, leader du groupe punk éponyme, retraité de la RATP installé à Sète, co-auteur du fameux documentaire, qui est pris en photo, en équilibre au bout d’un catway, pour illustrer le texte. Il paraît qu’il s’éclate à Sète, Mister Wampas. Et s’il venait s’éclater avec nous ?

On va lui faire un brin de conduite!

ml_nageur_80

Vous avez lu dans « Midi Libre » du 9 mai que cet ancien moniteur de plongée veut faire la traversée de l’étang à la nage entre la Pointe-Longue et Balaruc dimanche 2 juin. Ce sera pour fêter ses 80 ans.
Et si on lui faisait un brin de conduite avec nos barques? Martine et Yves s’occupent de monter les équipages. Appelez les.

Bravo, c’est fait! Les équipages sont donc constitués. Voilà le programme :

On a vu le pont

Il est là, on l’a vu, la structure du futur pont Sadi-Carnot arrivée de Venise (oui la Venise italienne) sur une barge amarrée à une darse du port de commerce.

« Midi Libre » était aussi sur le coup. Voici ce qu’on pouvait lire sur le site du journal :

C’est à 15 h ce mardi que le bien nommé remorqueur de haute mer, Fort a fini par coller, avec l’aide de deux remorqueurs du port de Sète, contre un quai du port de commerce la barge de 76 m de long et 24 de large supportant le nouveau pont Sadi-Carnot.


La structure de 430 tonnes a été construite dans les environs de Venise et vient donc d’arriver dans la Venise languedocienne. Jusqu’à la fin de la semaine, le pont va être équipé de verins qui vont pouvoir aider à sa mise en place à partir de lundi prochain.
C’est ce week-end qu’il va traverser les canaux pour rejoindre sa

destination.