Aujourd’hui il ne manquait personne à l’appel: Kayoko Yamasaki, Luc Vidal, Ghada Laghzaoui, nos poètes du jour, ont embarqué à l’heure avec tout un tas d’auditeurs impatients et curieux (ça marche très fort les « Lectures en barque »).
Corinne a quitté la première la ponton avec Ghada Laghzaoui à son bord pour aller chercher de l’ombre sous un pont avec l’aide de Sally, Martine, Lulu et Jean-Pierre.
Yves s’est chargé de Kayoko Yamasaki et il allait suivre avec Christian, Claire, Bruno et Jean. Déboula alors sur le ponton une jeune femme aussi détendue qu’une jeune femme qui n’a pas entendu le réveil, s’est brûlée en buvant le café et vient d’apprendre par sms qu’elle est désormais une « ex » (j’en sais rien, j’imagine en fonction de la sensation de stress). Ils sont où les poètes? Ils sont dans les barques ma belle, et les barques sont sur l’eau. Par plus de 35 degrés, la crise de nerf n’est jamais très loin. Évitons ça si possible! Yves! Yves, la traductrice! Et Yves de frôler le ponton pour prendre la traductrice en stop au vol. Cela en valut la peine, le serbe n’étant pas accessible à toutes les oreilles.
Pas besoin de traducteur pour Luc Vidal, poète, éditeur, lecteur, qui allait réciter aussi bien ses œuvres que celles Brassens, Ferret, Valéry, Baudelaire et d’autres dans le cadre d’une petite causerie sur la poétique pour le plus grand plaisir des passagers et de l’équipage de Gérard, c’est-à-dire William, Jacqueline, Alain et Lætitia.
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